Spring
Bague Flowers
La thématique des 4 saisons est régulièrement évoquée dans les créations de Wilfrid Deydier.
Chaque cycle est riche de couleurs, de senteurs et d’enseignements qui se déclinent en une source inépuisable d’inspirations. L’été et ses délices fruités, l’automne et ses explosions de couleurs fauves, l’hiver majestueux, et le printemps, sa verdure et sa promesse de renouveau qui prend vie dans la ligne Spring.
Dans la collection des quatre saisons créée par la Maison Deydier, la ligne Spring évoque un printemps frais et coloré. En or jaune ou en or rose, le corps de bague représente une branche d’arbre au toucher soyeux et parsemée de bourgeons d’or.
L’intérieur de l’anneau est richement travaillé à l’image des trésors cachés et à venir qu’annoncent la belle saison.
A chaque extrémité de la branche se trouve une feuille en or blanc. En pleine éclosion, la feuille dentelée se réveille doucement de son long sommeil hivernal. Les ondulations légères données à l’or laissent deviner le végétal en mouvement.
L’effet de plissage d’un feuillage en pleine éclosion évoque l’art rare et très recherché des maîtres plisseurs. Avec leurs doigts de fée, ils plissent et métamorphosent les tissus, donnant vie aux idées les plus pointues des grands couturiers.
La haute couture se dessine partout dans la nature à l’image des sept briolettes qui étincellent au cœur de la bague. En saphir de multiples couleurs, ces pierres ont la particularité de posséder d’innombrables facettes.
La taille briolette renforce la scintillance des gemmes et sa forme en goutte d’eau rappelle la rondeur des jeunes fleurs qui commencent à s’ouvrir. En face de ce bouquet naissant bourgeonnent quatre délicates pousses de feuille en or blanc.
Fleurie et végétale, la bague Spring est un enchantement de fraîcheur et de délicatesse.
Vidéo Collection La Parisienne
Un courant artistique caractérisé par ses lignes sinueuses, courbes et parfois organiques dont Gustave Eiffel fait une merveilleuse illustration avec sa tour culminant à 300 mètres et construite en seulement 2 ans.
Inaugurée en 1889, la Tour Eiffel est devenue cette dentelle de fer qui manifestait du prestige de la France dans les domaines de la création architecturale et de l’artisanat d’art.
La Parisienne
La Parisienne, c’est cette jeune femme à la démarche légère et raffinée que l’on croise dans les rues de la ville lumière. Elle éveille par son parfum frais et somptueux, elle attire par ses allures princières, elle brille et nous émerveille par son chic moderne.
Une silhouette dont la maison Wilfrid Deydier saisit l’intense délicatesse pour l’exprimer dans une collection de bijoux emblématique, une Tour Eiffel d’or et de pierres précieuses à laquelle il donne le nom de son inspiratrice, La Parisienne.
La jeune fille de grenat et d’or
Sa Dame de Fer, Wilfrid Deydier la dessine aérienne et délicieusement féminine, scintillant de mille diamants sous un ciel étoilé. Il la pare de sa lingerie délicate, interprétant la Dentelle de Fer de Roland Barthes dans une dentelle d’or polie au fil fin tout au long du bijou.
Virevoltant au grès des douceurs du vent, c’est ce même laçage qui noue le corset d’une ravissante princesse Parisienne que l’on imagine admirer la Tour Eiffel depuis son balcon. Vêtue de pourpre et d’or, la jeune femme à la coiffe fleurie rêve certainement d’amour, belle et lumineuse face à la Lune qui offre ses éclats solaires à la capitale du glamour.
La Parisienne ou la renaissance de l’Art Nouveau
S’il est une ode à Paris et à son romantisme, le bijou La Parisienne porte en lui l’âme de cette période que l’on appelait La Belle Epoque, ces années prospères entre la fin du XIXème et 1914 qui furent marquées par la Révolution Industrielle et le mariage de l’ingénierie à l’art. Non seulement constructifs, les matériaux, le verre ou le métal devenaient nobles, participant à la création de l’Art Nouveau.
Une Histoire qui a trouvé écho dans les parures La Parisienne où Wilfrid Deydier exprime toute la technicité que son métier d’architecte d’intérieur à apporté à ses créations joaillières.
Si Gustave Eiffel et son équipe domptaient le fer, la Maison Deydier fait de la Parisienne un bijou au savoir-faire Haute couture où l’or, solide et éternel, se modèle en des boucles voluptueuses et légères taillées tels des rubans satinés.
A l’image de la Tour Eiffel qu’elle symbolise, la collection est à la fois avant-gardiste et riche d’un savoir-faire Français. Avec comme inspiration ses thèmes majeurs qui sont l’architecture, la couture et l’histoire.
Pour raconter l’esprit de sa création mythique, la maison Deydier a imaginé une campagne publicitaire créative et glamour, à son image. Elle s’amuse à mettre en scène sa collection à travers différentes époques, des années 60 à nos jours.
Et là, la magie opère, les clichés parlent d’eux-mêmes. Portées par une actrice mythique des sixties ou dans une version colorée et pop d’un top model des années 80, les parures sont à la fois modernes, vintages et dans l’air du temps.
Elles se marient à tous les styles, d’un blanc élégant pour les versions diamants et or blanc, classiques en or jaune, serties de pierres multicolores pour illuminer ou bien en une version XL en or rose et diamants noirs pour un look sensuel et rock.
Si les boucles d’oreilles se prêtaient au jeu des grandes stars de cinéma qui posaient face à une Tour Eiffel romantique, elles habillent avec caractère et fraîcheur les femmes de notre époque contemporaine.
C’est une campagne clin d’œil qui nous fait sourire, avec émotion, par le voyage dans lequel elle nous mène : celui où les modes et les modèles changent, avec, à leurs doigts, au creux de leur cou ou à leurs oreilles, des bijoux à la beauté éternelle.
Le secret d’un tel langage universel, hors du temps et des frontières, réside dans l’audace des mélanges, de l’union du classique à l’inédit, des pierres précieuses aux pierres fines, mais aussi dans cette dentelle d’or sculptée au design chic relevé de notes urbaines.
Le poinçon de maître joaillier
Nous avons le plaisir de vous présenter le poinçon officiel de maître joaillier de la maison Wilfrid Deydier.
Réalisés selon le savoir-faire français, la joaillerie de la maison sont signés du poinçon de maître qui est, depuis la Renaissance en France, le garant d’un travail d’excellence aux techniques ancestrales.
En plus de lui donner de la valeur, le poinçon de maître permet d’identifier le créateur d’un bijou, il est sa signature.
Officiellement enregistré au bureau des douanes où il est frappé sur une plaque de métal pour être archivé, et doit répondre à une codification visuelle stricte.
Toutes nos pièces sont signées.
Au cœur d’un losange horizontal, on retrouve la gravure du logo de la maison Deydier qui se compose de deux vagues en mouvements, la troisième cassée en déferlante signifie la force qui vient finaliser ce design symbolique.
Graphiques et sensuelles, ces vagues aux lignes courbes dessinent dans leur ensemble le logo de la maison Wilfrid Deydier à l’essence féminine et puissante.
Deux initiales que l’on retrouve en lettres capitales de part et d’autre du losange comme préconisé depuis 1797, le W à gauche et le D à droite.
Diapason
Avec sa nouvelle collection Diapason, la maison Deydier assoit sa griffe si particulière qui s’adresse à des femmes de caractère attirées par des bijoux aux formes uniques. Inspirée par la pureté de l’harmonie musicale, cette ligne étincelante en argent rhodié allie l’esprit vintage à une vision futuriste. Les tiges d’argent au rhodiage blanc s’associent à la modernité d’une boule d’argent au rhodiage noir et puissant.
Chaque pièce de la collection, bague, boucles d’oreilles, pendentif ou bracelet existe en 2 tailles : dans sa version L, la boule hypnotisera par ses reflets d’un noir brillant et profond. Dans sa version XL, le globe d’argent aux reflets d’onyx sera serti d’un diamant blanc qui scintillera comme une étoile en son sommet.
Modèle XL
Argent massif poids 4 grammes*
Argent rhodium et sphère rhodié noir
Qualité diamant D-F clarté VS
Taille brillant
2mm – 0.03 carat*
Collection Sévigné
Dans la collection Versailles, la bague Sévigné s’inspire de cette femme d’esprit dont les écrits épistolaires dépeignent avec délice la cour du roi Louis XIV.
Sur une monture en or jaune 18 carats et une pluie de diamants en serti grain, un bouquet de pierres colorées rappelle la vivacité d’expression de la marquise.
La bague aux lignes précieuses de nénuphars porte en son cœur un diamant blanc.
Autour de ce noyau étincelant gravitent 6 tsavorites aux nuances vertes et végétales, grenat mis en lumière à nouveau dans une taille navette qui symbolise 3 feuilles embrassant une branche d’or.
Sur chaque pétale de la fleur se trouve également une pierre précieuse de couleur différente dont un saphir jaune, un saphir jaune-orangé, un saphir rouge-orangé et un saphir violet.
3 rubis à la taille poire se détachent de l’ensemble et gravitent autour des pétales comme des gouttes parfumées à l’extrait de roses rouges.
Nénuphar perlé d’une brume de pierres teintées, la bague Sévigné est un bijou poétique au style végétal et pétillant qui célèbre la beauté féminine dans une qualité de gemmes, des lignes et un design hors du commun.
Collection Sévigné